SFCPCV INFO COLPO

 

Appel à cotisation
Bernard HUYNH

Trésorier
Bernard HUYNH

Chère amie, cher ami, chers adhérents de la Société Française de Colposcopie et Pathologie Cervico-Vaginale,

Cette année encore, nous voulons, le Bureau et moi-même, vous compter parmi les adhérents de la SFCPCV qui regroupe toutes celles et ceux qui cherchent à comprendre la pathologie cervico-vaginale, celles et ceux qui représentent, en France, l’intelligence de la colposcopie. Grâce à vous tous, la Société de Colposcopie a une vie intense et passionnante comme en témoignent les très nombreuses adhésions nouvelles reçues cette année encore.

Notre cotisation reste fixée à 80 € en 2019 selon le vœu de l’AG de Janvier. Si vous voulez bien la régler dès maintenant en ligne sur notre site internet (www.societe-colposcopie.com) le reçu permettant la déduction fiscale de votre cotisation vous sera directement adressé par mail.

Conformément à nos statuts, la non cotisation pendant trois années consécutives vaut démission et nous serons donc au regret de considérer comme démissionnaires de la SFCPCV les membres dont la cotisation n’aura pas été versée depuis l’année 2016.

Ne prenez pas le risque de l’oublier et réglez votre cotisation aujourd’hui si vous ne l’avez pas encore fait cette année !

Avec mes plus confraternelles salutations et mes amitiés.

Régler votre cotisation


 

Frottis anal, test HPV, anuscopie : quelle stratégie et pourquoi ?

Christine BERGERON et Olivier AYNAUD

Christine BERGERON et Olivier AYNAUD


Le cancer de l’anus est en augmentation (1 à 3 pour 100 000) et représente le troisième cancer chez les femmes VIH ; il partage des similitudes biologiques avec le cancer du col utérin, notamment une infection à HPV à haut risque (HPVHR) dans 95% des cas et des lésions précancéreuses (lésion malpighienne intraépithéliale de haut grade ou HSIL) que l’on peut diagnostiquer avant le stade invasif.  L'âge médian du diagnostic du cancer de l'anus est supérieur de dix ans à celui du cancer du col (âge médian de 61 ans contre 51 ans) et la prévalence du cancer de l’anus est 2 à 4 fois moindre que celui du col malgré l’absence de dépistage. L’infection VIH, l’immunosuppression, les rapports anaux, les partenaires multiples, les IST et le tabac sont les principaux facteurs de risque d’un cancer de l’anus. Par ailleurs, l’infection HPVHR du col constitue un facteur de risque significatif d’avoir une infection HPVHR de l’anus...

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Immunogénicité et innocuité d'un vaccin contre le papillomavirus humain nonavalent chez les femmes âgées de 16 à 26 ans

Hélène PICLET

Hélène PICLET


Plusieurs mois après la commercialisation en France du nouveau vaccin anti-HPV nonavalent (9vHPV), il semble utile de faire un état des lieux de nos connaissances en matière d’efficacité et de tolérance de ce vaccin. Dans cette grande étude multicentrique, randomisée, en double aveugle, publiée dans le Lancet en novembre 2017, Les auteurs proposent de montrer :

  1. Que l’efficacité du vaccin 9vHPV est équivalente à celle du vaccin quadrivalent sur les réponses immunitaires des HPV 6 11 16 18
  2. L’impact du vaccin 9vHPV sur les anomalies cytologiques cervicales, les maladies cervicales, vulvaires et vaginales de haut grade causées par les HPV de type 31, 33, 45, 52, et 58.

Les critères d’inclusions étaient des femmes âgées de 16 à 26 ans, en bonne santé, ...

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HPV et pathologie ORL. Que sait-on aujourd’hui ?

Morbize JULIÉRON

Morbize JULIÉRON


Alors que l’incidence des localisations carcinomateuses liées à l’alcoolo-tabagisme (larynx, hypopharynx, cavité buccale) dans les pays économiquement développés diminue, celles des localisations oropharyngées liées à l’HPV augmente de façon notable (1 à 3% par an). Le taux de cancers oropharyngés liés à l’HPV atteint 90% dans les pays du nord de l’Europe et l’incidence de ces cancers HPV-induits a récemment dépassé celle des cancers du col aux USA.

Les tumeurs ORL pour lesquels le rôle tumorigène des HPV a été formellement mis en évidence sont :

  • Les papillomatoses laryngées (HPV 6 et 11) qui sont des tumeurs bénignes mais récidivantes, intéressant le plus souvent les enfants et nécessitant des traitements itératifs du fait des risques d’obstruction de la filière respiratoire.
  • Les carcinomes épidermoïdes (CE) de l’oropharynx, et plus précisément les tumeurs à point de départ des amygdales palatines ou linguales (base de langue).

Alors que les mécanismes d’oncogenèse sont différents, les CE de l’amygdale...

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Katty ARDAENS

Katty ARDAENS

 

  • CAS CLINIQUE
    HSIL et grossesse

    • H.D., 32 ans
    • frottis HSIL
    • G3 P2
    • Enceinte à 16 SA

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